Collection Escortboy. Comment J’Ai Débuté ? Saison I (2/3)

500 €, c’est ce que j’ai accepté pour venir dans la chambre de cette jolie femme qui souhaite tromper son mari.
Je viens de la déshabiller et ma langue vient facilement en contact de son clitoris, car ma cliente est intégralement épilée.
Ma grosse voisine qui m’a pris mon pucelage avait une toison où j’aurais pu me perdre tellement elle était fournie.
Celle de Maryse ma fiancée est soigneusement entretenue et est taillée en triangle.
Je la sens commencer à se tortiller.
Je reçois sur mes lèvres des parcelles de son plaisir et mon nez capte des effluves très odorants.
J’ai vu sur Internet que la substance rejetée par la chatte des femmes se nommait de la cyprine et si celle de Maryse est agréable celle que j’avale en léchant son vagin l’est tout autant.
J’ai pris conscience en quelques secondes qu’en acceptant l’argent de cette jolie femme, ça va bien me dépanner, car cela représente deux loyers et demi.
Pardons, trois, j’oubliais les 100 supplémentaires pour mes pectoraux.
Si par chance quand redescendant de cette chambre pour me rendre à mon rendez-vous, je décroche un emploi, j’aurai assuré la presque totalité de mes frais de mon année de fac.
C’est vrai que Tonton Jacques le frère de ma mère, qui est aussi mon parrain, m’envoie de temps en temps un mandat améliorant mon quotidien.
Ma cliente monte sur le lit, mais au lieu de la suivre, je l’aide à se coucher sur le dos la tête sortant du lit.
Je reste debout sa bouche étant à bonne hauteur pour que j’y plonge allégrement ma verge.
J’ai ses seins à portée de main, j’en profite pour les caresser sans arrêter de lui pilonner la bouche.
Je suis à deux doigts d’arriver à la délivrance.
Si elle veut boire mon sperme, il faudra qu’elle attende un petit moment, prendre mon plaisir avant elle, je sens que cette dame aurait du mal à apprécier.
Je quitte cette grotte où je rentrais jusqu’aux couilles pour monter sur le lit.


L’ayant placé en levrette position que je pratique beaucoup avec Maryse.
C’est plus facile, surtout dans la camionnette et les légumes, j’entre en elle sans aucune difficulté tellement son vagin dégouline de sécrétions.
Je lui prends les hanches, j’ai la certitude qu’elle va être contente de son investissement et qu’ainsi elle rentabilisera pleinement notre rapport tarifé.
Alors que je sens son corps se tordre et démarrer sa jouissance, de grands soupire me fais voir que je suis sur la bonne voie.

• Oh ! Oui.

Ces deux mots lâchés, je me sens pleinement mâle dominateur.
Pour me le prouver, je vais même jusqu’à lui claquer simultanément la fesse droite puis la gauche jusqu’à ce qu’un orgasme la tétanise.
Ayant réussi ma partie de contrat, je me libère.
Si je suis frustré, car je lui aurais bien envoyé mon foutre au fond de sa bouche, hélas, je la sens se ramollir et s’affaisser sur le lit, elle s’endort.
J’aurais bien recommencé une nouvelle partie de jambes en l’air.
De plus, le temps tourne, l’argent qu’elle m’a donné pour rester une heure arrive à expiration.
Si je suis en retard à mon rendez-vous, j’aurai des soucis.
Inutile qu’un autre profite de ce travail de manutentionnaire que l’on me propose et qui a l’avantage de me donner le temps de suivre mes cours.
Alors que je sens son corps se tordre et démarrer sa jouissance, les grands soupirés me font voir que je suis sur la bonne voie.

• Où vas-tu, viens ici j’ai une proposition à te faire, prend mon sac sur le guéridon et apporte-le-moi ?
• Quand je t’ai rencontré j’attendais pour un entretien pour un emploi qu’il faut que je décroche obligatoirement.
Si mes comptes pour cette année d’études sont dans le rouge, je me verrai obligé de retourner chez mes parents.
Alors merci pour ces billets qui me donnent de l’oxygène et surtout merci pour le bon moment passé.
• Laisse tomber cet emploi qui va te fatiguer alors que je t’en propose un autre qui va remplir ton bas de laine tout en te donnant du plaisir.

Je suis une escorte girl appellation pour éviter de dire que je suis une pute.
Je suis aussi responsable avec ma copine Valérie d’un réseau principalement de filles.
Nous avons de plus en plus de demandes de femmes, ayant peu de temps dans leur journée, qui cherche des sexes mâles.
Alors que la demande des hommes, ce sont des putes afin de satisfaire leur libido.
• Pourquoi moi ?
• Tu es beau gosse et j’ai adoré la façon que tu as eu de faire bouger tes pectoraux.
Si tu acceptes ma proposition, quand tu le feras à nos clientes, tu auras déjà fait la moitié de ton travail
Si tu es d’accord, voici les clefs d’un appartement quatre pièces dans une rue discrète près de l’avenue Foch.
Tu pourras y vivre tout en t’occupant de clientes qui ont droit comme les hommes à leur 5 à 7.
Je te propose de devenir escortboy.
• Tu veux que je fasse la pute de ses dames, même de ces mémères à leur toutou ?
• Tu peux le voir comme cela.
Mais sache que chaque fois que tu accepteras l’offre téléphonique tu empocheras un minimum de 2 000 €.
Certaines fois, tu te rendras à un rendez-vous pour dîner avec des femmes en te montrant simplement à leurs bras.
Si tu prends les clefs que je te tends, tu vivras de bons moments.
Certes, certaines fois les clientes seront loin d’être de la première fraîcheur.
C’est pour ça que lorsque tu es entré dans ce bar et que j’ai vu, comment tu étais gaulé, j’ai eu envie de joindre l’utile à l’agréable.
Je cherchais un garçon de ta trempe, car le travail se bouscule, pour vous comme pour nous.
Si tu prends ces clefs, tu as tout le temps de me faire voir une nouvelle fois tes capacités à satisfaire les femmes souvent frustrées par un mari oubliant qu’elles ont été jeunes.
D’autres voulant s’isoler pendant quelques heures et voulant avoir une aventure sans lendemain évitant de mettre leurs couples en danger.

Le calcul est vite fait, le chiffre clef c’est 2 000 par passe, même si je dois baiser des femmes du même acabit que ma voisine avec son gros cul le jour où elle m’a pris mon pucelage.

Grâce a elle, j’ai été vacciné.
Je prends et je me déshabille avant de venir reprendre ma place dans cette jolie bouche qui m’a déjà accueilli avant que je lui prenne la chatte.

• Il y a des risques avec des maris jaloux, c’est dangereux !
• Pas plus que la conduite d’un camion de livraison à grande vitesse comme ils t’imposeront de le faire.
Pas plus quand livrant de gros colis te cassant le dos.
Sans oublier les autres véhicules perdant le contrôle et venant percuter ta cabine te tuant sur le coup.

Je suis de nouveau tout dur.

• Attends, je vais faire des photos de toi avec mon portable pour mettre ta jolie frimousse sur notre site.
Ça va t’apporter tes clientes qui vont apprécier ta belle vigueur.
Voilà un portable que tu devras consulter régulièrement pour voir si la personne chargée de nos disponibilités t’a contacté pour te proposer une rencontre.

Elle fait des photos qu’elle envoie par SMS à quelqu’un avant que je la renverse et que je la pilonne jusqu’à la faire jouir une nouvelle fois.
Je me réveille et c’est moi qui suis étonné qu’elle soit prête aussi pimpante que lorsque je l’ai rencontré dans ce bar.

• J’y vais, on se reverra, je te ferais connaître toute la bande d’amis qui gravite autour de nous.
Je dois être sincère avec toi, je suis divorcée et cette bague était là pour t’appâter.
Il se peut que tu travailles dans ton appartement en binôme avec un autre garçon.
Nous avons affaire certaines fois à de grandes gourmandes qui veulent deux bites en elles avec un supplément bien sûr.
Dans l’appartement ultramoderne, tu trouveras des notes qui te montreront comment tout fonctionne.
Pour les garçons, nous vous fournissons un logement, car les femmes contrairement aux hommes ont des difficultés à aller dans des hôtels pour se faire baiser.

Elle quitte la pièce, je me dépêche de m’habiller, presser d’aller voir où je vais continuer ma vie et mes études.

Rue de la Pompe, nom prémonitoire, pour me faire pomper par des clientes.
L’organisation où je viens d’entrer semble avoir de l’humour.
Dès que je franchis, la porte une musique douce d’ambiance fait clignoter des jeux de lumière.
Les fenêtres sont rendues opaques pour éviter de choquer les voisins quand je m’occuperais de ces dames.
La chambre est principalement constituée d’un lit rond qui se met à tourner dès que l’on se couche dessus.
Sur la table de nuit une télécommande est placée qu’il va falloir que j’étudie.
La salle de bain est identique, une note précise.

« Placer le téléphone portable de l’organisation sur ce support vous pourrez atteindre un monde virtuel par commande vocal. »

Je suis les consignes et je commande un bain à température douce avec des sels adoucissants, tout se déclenche automatiquement.
En attendant je vais dans la cuisine où le frigo est, lui aussi connecté avec une note posée dessus.

« L'équipe des personnes chargées de l’entretien de votre appartement vient le remettre en état tous les jours sauf le dimanche entre dix heures et midi.
Vous devrez laisser l’appartement libre pendant ces deux heures. »
« Demain, 8 heures, un tailleur viendra prendre vos mesures pour vous confectionner les tenus qui vous serviront dans les jours prochains »

Je retourne dans la salle de bain où je m’installe un cocktail sans alcool posé sur le rebord.

• Célian, je suis la collaboratrice de l’organisation.
Claude nous a fait parvenir vos coordonnés et nous vous avons directement mis en ligne sur le site.
Il faut que vous sachiez que vous avez changé de nom, pour garder votre incognito.
Claude vous a enregistré sous celui de Célian à partir de maintenant c’est le seul que vous connaîtrez et que vous donnerez à vos clientes.
Il plaît, car vous avez déjà une cliente qui souhaite venir vous voir dans une demi-heure.
Connaissant Claude, pourrez-vous tout de même assurer ?
• Vous m’avez fait peur, j’ai failli renverser mon verre, j’ai 18 ans, toujours prêt.
• Tarif normal à vous de vous débrouiller pour obtenir des gratifications.
• Quel est votre nom, vous avez une douce voix.

La fin de communication se fait entendre d’un coup comme si mon interlocutrice avait coupé précipitamment.
À l'heure dite la cliente sonne.

• Vous êtes Célian, j’ai un peu peur, c’est la première fois que je réponds à ce site Internet qui vante vos prouesses sexuelles surtout que je suis veuve depuis sept ans et que j’ai perdu l’habitude des hommes.

Elle me tend la main, mais en la saisissant, je remarque sur son autre main la trace d’une alliance fraîchement retirée me montrant que cette veuve est une veuve joyeuse.
Je commence par la veste du tailleur et rapidement mon sexe est au fond de son vagin en position de levrette sur le lit où la musique douce semble l’inspirer.
Je viens de concrétiser mon nouveau métier, pute…

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